Prévention
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Prévention
Prévention
Concernant l'intoxication alimentaire :
• Bien cuire les aliments, surtout la viande rouge, la volaille et les oeufs et mettre au réfrigérateur les restes dans les deux heures qui suivent la cuisson ( sachant que les oeufs et la volaille véhiculent une bactérie appelée la salmonelle ).
• Rincer à l'eau du robinet les fruits et légumes qui sont consommés frais ( à cause des insecticides qui peuvent être utilisés en hautes doses ).
• Ne pas cuisiner sur une surface qui est entrée en contact avec de la viande ou de la volaille crue ( utiliser une planche pour découper la viande crue et une autre pour les légumes ).
• Bien nettoyer les ustensiles de cuisine après les avoir utilisés.
• Manger des produits laitiers préférablement pasteurisés. La pasteurisation tue les microbes par la chaleur ( les fromages au lait pasteurisés sont à distinguer des fromages au lait cru ).
• S'assurer que la température du réfrigérateur ne dépasse pas 4 °C.
• Lors de la préparation de conserves alimentaires de manière artisanale, ne pas oublier de stériliser les contenants scellés ( avec leur contenu ) à la température requise selon le type d'aliment.
• Ne pas consommer ni même goûter le contenu de boîtes de conserve dont le couvercle est bombé ou qui dégage une odeur suspecte. Il est préférable de jeter le tout.
• En voyage dans un pays où les conditions sanitaires sont précaires, boire seulement l'eau en bouteille, des boissons gazeuses, de la bière ou du vin préférablement à la bouteille ou avec une paille et, avec un peu plus de précautions, du thé et du café faits avec de l'eau bouillie.
• Se faire vacciner contre le choléra et la fièvre typhoïde si l'on prévoit de voyager dans un pays où ces maladies ont cours. Toutes deux se contractent par l'ingestion d'eau ou d'aliments contaminés.
• Se méfier de certains champignons qui peuvent être vénéneux.
Concernant la contamination virale :
• Laver ses mains et celles de son enfant régulièrement à l'eau et au savon ( surtout avant les repas, avant la préparation des repas, après être allé aux WC et après avoir changé les couches ).
• Laver les vêtements salis par la diarrhée ou les vomissements avec un javellisant chloré.
• Nettoyer tout objet souillé par la diarrhée ou les vomissements avec une eau javellisée ( par exemple, les WC et le lavabo ).
• Ne pas partager d'ustensiles ou de nourriture avec une personne qui a la gastroentérite.
• Ne pas partager de serviettes de bain.
• Éviter tout contact direct avec une personne qui a la gastroentérite, si possible.
Bon à savoir :
Dans un contexte à risque, un moyen supplémentaire de se prémunir contre la gastroentérite est de prendre des suppléments de probiotiques. Les probiotiques sont des bactéries vivantes qui exercent une influence bénéfique entre autres sur la flore intestinale et le système immunitaire. Parmi les plus efficaces, il existe les Lactobacillus GG et Lactobacillus casei. Ces bactéries doivent toutefois être présentes en très grandes quantités - c'est-à-dire un apport quotidien de 3 à 5 milliards de bactéries - dans les produits probiotiques pour avoir un effet sur la flore intestinale. ( l'Ergyphilus des Laboratoires Nutergia est un exemple ).
Concernant l'intoxication alimentaire :
• Bien cuire les aliments, surtout la viande rouge, la volaille et les oeufs et mettre au réfrigérateur les restes dans les deux heures qui suivent la cuisson ( sachant que les oeufs et la volaille véhiculent une bactérie appelée la salmonelle ).
• Rincer à l'eau du robinet les fruits et légumes qui sont consommés frais ( à cause des insecticides qui peuvent être utilisés en hautes doses ).
• Ne pas cuisiner sur une surface qui est entrée en contact avec de la viande ou de la volaille crue ( utiliser une planche pour découper la viande crue et une autre pour les légumes ).
• Bien nettoyer les ustensiles de cuisine après les avoir utilisés.
• Manger des produits laitiers préférablement pasteurisés. La pasteurisation tue les microbes par la chaleur ( les fromages au lait pasteurisés sont à distinguer des fromages au lait cru ).
• S'assurer que la température du réfrigérateur ne dépasse pas 4 °C.
• Lors de la préparation de conserves alimentaires de manière artisanale, ne pas oublier de stériliser les contenants scellés ( avec leur contenu ) à la température requise selon le type d'aliment.
• Ne pas consommer ni même goûter le contenu de boîtes de conserve dont le couvercle est bombé ou qui dégage une odeur suspecte. Il est préférable de jeter le tout.
• En voyage dans un pays où les conditions sanitaires sont précaires, boire seulement l'eau en bouteille, des boissons gazeuses, de la bière ou du vin préférablement à la bouteille ou avec une paille et, avec un peu plus de précautions, du thé et du café faits avec de l'eau bouillie.
• Se faire vacciner contre le choléra et la fièvre typhoïde si l'on prévoit de voyager dans un pays où ces maladies ont cours. Toutes deux se contractent par l'ingestion d'eau ou d'aliments contaminés.
• Se méfier de certains champignons qui peuvent être vénéneux.
Concernant la contamination virale :
• Laver ses mains et celles de son enfant régulièrement à l'eau et au savon ( surtout avant les repas, avant la préparation des repas, après être allé aux WC et après avoir changé les couches ).
• Laver les vêtements salis par la diarrhée ou les vomissements avec un javellisant chloré.
• Nettoyer tout objet souillé par la diarrhée ou les vomissements avec une eau javellisée ( par exemple, les WC et le lavabo ).
• Ne pas partager d'ustensiles ou de nourriture avec une personne qui a la gastroentérite.
• Ne pas partager de serviettes de bain.
• Éviter tout contact direct avec une personne qui a la gastroentérite, si possible.
Bon à savoir :
Dans un contexte à risque, un moyen supplémentaire de se prémunir contre la gastroentérite est de prendre des suppléments de probiotiques. Les probiotiques sont des bactéries vivantes qui exercent une influence bénéfique entre autres sur la flore intestinale et le système immunitaire. Parmi les plus efficaces, il existe les Lactobacillus GG et Lactobacillus casei. Ces bactéries doivent toutefois être présentes en très grandes quantités - c'est-à-dire un apport quotidien de 3 à 5 milliards de bactéries - dans les produits probiotiques pour avoir un effet sur la flore intestinale. ( l'Ergyphilus des Laboratoires Nutergia est un exemple ).
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